Technique de Soin

La Psychonomie décrit :

Une nouvelle physiologie du vivant, basée sur les échanges d’information dans le corps, prenant en compte tant la nature fonctionnelle que structurelle des tissus et des organes.

Une nouvelle perception du vivant, fondée sur le toucher empathique qui renseigne le praticien sur la présence d’une perturbation informationnelle chez le patient.

Un nouveau principe thérapeutique selon lequel une information perturbée peut être mise en relation avec l’information originelle saine pour un tissu ou un organe en souffrance : la Symbionie®.

La méthode, en constante évolution, bénéficie des observations régulières des praticiens confirmés et des recherches faites au sein de l’école.

Technique utilisée

La Psychonomie propose une nouvelle description de la physiologie du vivant, en s’intéressant aux échanges d‘information entre un organe et sa fonction. Il arrive que ces échanges d’information restent sidérés (à la suite du traumatisme d’un muscle, par exemple, sollicité au delà de ses capacités). Ces lésions produisent un dysfonctionnement concret et des conséquences organiques.

La pratique de santé en Psychonomie permet de trouver les lésions et de rétablir l’échange d’information dans le corps. En cela, elle est une thérapie informationnelle et non pas énergétique.

Le soin en Psychonomie se base sur une méthodologie en trois étapes :

• la perception des lésions par empathie holographique,
• la Symbionie de l’information saine,
• la restauration de l’information vers le tissu qui en avait perdu l’accès.

Seule une légère palpation du corps du patient étant nécessaire, cette technique est par conséquent extrêmement douce, sans manipulation, et non invasive.

Il faut noter qu’il n’est prodigué aucun conseil médical, ni aucun diagnostic. Seul un commentaire à postériori peut être fait sur le trouble fonctionnel. Il est important de suivre les recommandations et prescriptions de son médecin. La Psychonomie est une pratique de santé complémentaire qui ne saurait se substituer à la médecine classique.

Le toucher empathique

L’empathie est la faculté intuitive de se mettre à la place d’autrui et de percevoir ce qu’il ou elle ressent. Qui n’a pas eu ce ressenti presque physique à la vue ou même à la pensée d’un être cher, victime d’une blessure ou en proie à une souffrance ?

C’est ce même ressenti, quoique plus subtil, que le praticien utilise lors de la recherche de dysfonctionnements éventuels chez le sujet. Cette perception est guidée de manière précise par un protocole rigoureux que la Psychonomie a développé et qui se base sur les dernières avancées en embryologie, en prenant en compte l’histoire de la formation des tissus.

À l’aide d’une palpation légère, le praticien « perçoit » le corps du patient : son empathie le/la renseigne sur la localisation d’une lésion informationnelle qu’il/elle pourra alors restaurer. La circulation de l’information rétablie, le processus naturel d’auto-guérison peut alors de nouveau contribuer à la restauration et au maintien de l’homéostasie, l’équilibre harmonieux du corps en bonne santé.

L’avantage certain de cette technique est que le corps du patient « guide » le praticien vers la cause première de la pathologie, qu’elle soit physique ou émotionnelle. Il est donc essentiel que le praticien approche la séance dans une attitude d’ouverture et d’écoute, détaché de toute idée préconçue quant à l’origine d’un dysfonctionnement.

Symbionie

Nous appelons Symbionie® le processus de reconnexion d’un tissu lésé avec son information d’origine. Le moment où l’information circule à nouveau vers le tissu se traduit par la disparition, ou plutôt l’apaisement, du ressenti empathique que le praticien aura suivi tout au long de la lecture du corps du patient.

Le moment de la Symbionie est un moment privilégié. C’est la présence attentive du praticien qui permet de restaurer la communication de l’information pour un tissu donné, que le patient pourra ressentir comme un soulagement, un « soupir tissulaire ».

Le praticien ne doit pas « faire » : il ne doit pas ajouter, enlever, ni vouloir quoi que ce soit ; seule sa présence consciente permettra la Symbionie. L’attitude de « non-faire » requise pour la Symbionie n’enlève rien à l’efficacité de la Psychonomie, bien au contraire. Dans la plupart des cas, il faut 3 à 4 jours pour noter une amélioration des symptômes, mais il arrive que le retour de fonctionnalités (musculaires par exemple), auparavant douloureuses, apparaisse dès la fin de la séance.